Nouvelle formation en culture générale à l'Ecole professionnelle santé-social (ESSG)
Dispensée en langue française depuis 2019, cette offre de formation sera également proposée en allemand dès la rentrée scolaire 2023-2024. Destinée aux adultes qui ont le projet d'entamer une formation professionnelle initiale de type CFC, elle se déroule sur 9 mois à raison d'un soir par semaine.
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Semaine focus formation professionnelle
La journée de la formation professionnelle passe à une semaine complète. Branchez-vous sur Radio Fribourg et Radio Freiburg du 8 au 12 mai.
Cantons participants ? AG, BE/BE-f, JU, BL, BS, FR, GE, GR/GL, LU/OW/NW, NE, SH, SO, TI, VD, VS, ZG/SZ/UR, ZH
Thèmes ? Choix d'une profession - Promotion des places d'apprentissage
Plus d'informations Swiss Mobility - Accueil stagiaires
Le projet Swiss Mobility est lancé : de jeunes diplômés (CFC et maturité professionnelle) de différents cantons attendent d’être placés pour un stage de 3 à 5 mois dans une autre région linguistique.
Partenaire du projet, le canton de Fribourg accueillera jusqu’à 5 stagiaires dès août 2023 (variable selon disponibilité).
Si, en tant qu’entreprise fribourgeoise, vous êtes intéressée et disposée à recevoir un jeune pour cette immersion, vous pouvez vous annoncer auprès de Madame Leïla Bersier, responsable du projet pour le canton de Fribourg au 026 305 25 90 ou à l’adresse leila.bersier@edufr.ch.
Plus d’informations Devenir pro de la formation professionnelle
À travers une approche axée sur la pratique, la filière de Spécialiste en formation professionnelle avec brevet fédéral prépare les futurs diplômés et diplômées à exercer des tâches exigeantes aussi bien au sein d’une entreprise formatrice, d’une organisation du monde du travail, d’un office de la formation professionnelle que de toute autre institution active dans ce secteur. Elle permet aux personnes actives dans la formation professionnelle de gagner en professionnalisme et contribue ainsi de manière significative au développement de la qualité.
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Les jeunes en provenance d'Ukraine doivent pouvoir suivre un apprentissage complet en Suisse
Parmi les personnes en quête de protection venues d'Ukraine qui ont obtenu le statut de protection S, on compte près de 5'000 jeunes âgés de 15 à 20 ans. Ces jeunes doivent pouvoir suivre et terminer un apprentissage en Suisse, et ce, même si le statut S venait à être levé avant la fin de leur formation. D'entente avec les cantons et les partenaires sociaux, la conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider a décidé qu'ils pourront rester dans notre pays jusqu'à la fin de leur formation. Cette décision apporte une certaine sécurité en termes de planification tant aux apprenti-e-s qu'aux entreprises formatrices.
Vers le communiqué de presse Pause photo
Participez à la campagne FormationProfessionnellePlus.ch grâce à l'outil "générateur de photos". Vous pouvez immortaliser une image avec vos apprenti-e-s accompagnés de leurs formateurs/-rices. Déclaration d'engagement des partenaires de la formation professionnelle
Les places d’apprentissage vacantes sont publiées au plus tôt en août de l’année précédant l’entrée en formation et les contrats d’apprentissage signés au plus tôt un an à l’avance. De plus, les offices cantonaux de la formation professionnelle n’approuvent pas de contrats avant le mois de septembre de l’année précédant l’entrée en formation. Tels sont les principes relatifs au processus de choix professionnel et de recrutement des apprentis arrêtés en 2021 par les partenaires de la formation professionnelle, à savoir les cantons, les organisations du monde du travail et la Confédération. La déclaration d’engagement fait ses preuves. Tous les acteurs de la formation professionnelle sont appelés à continuer de s’engager en faveur de ces principes dans le but de permettre un processus d’accompagnement du choix professionnel et de recrutement consciencieux et coordonné dans le temps. On peut ainsi renforcer encore le caractère contraignant de l'engagement.
Plus d'informations Promouvoir les places d'apprentissage
En février 2023, la société lucernoise Neumann Zanetti & Partner, a réuni dix adolescent-e-s autour d'une table pour évaluer les annonces de différents domaines.
Plus d'informations sur l'étude Cinq questions à David Valterio
Pour cette édition, nous avons interrogé le nouveau directeur de la Fédération fribourgeoise des entrepreneurs (FFE).
Quel est votre parcours professionnel ?
J’ai effectué mes études à l’Université de Fribourg à la faculté des Sciences économiques et sociales. Puis, une fois terminée ma formation, j’ai effectué un remplacement au Learning Lab à IMD à Lausanne. Quelques semaines plus tard, j’ai rejoint le Bureau des Métiers, le Centre patronal valaisan, comme secrétaire patronal adjoint. J’ai évolué ensuite dans ma fonction, d’abord dans un premier temps comme secrétaire patronal et administrateur, puis en 2013 comme chef de secteur des associations et de la formation, membre de la direction élargie, poste que j’occupais encore il y a quelques semaines. Durant ces 17 ans, j’ai eu beaucoup de plaisir à évoluer dans ce monde des associations et de la formation professionnelle. J’ai eu la chance notamment, au travers de mes différents mandats, de participer à la mise en place d’un fonds de la formation continue des adultes ou l’Ecole du Métal pour les dessinateurs en construction métallique à Bulle. Enfin, en mai 2022, j’ai terminé un EMBA in integrated management à la HEG de Fribourg.
Comment un Valaisan se retrouve-t-il à la tête d'une fédération fribourgeoise ?
Après 17 ans au Bureau des Métiers, je me devais de trouver de nouveaux défis et comme il n’y avait pas énormément de possibilités au sein de mon canton d’origine, je me suis dit que si je voulais poursuivre mon développement professionnel, je devais m’expatrier. Connaissant la fédération de réputation et avec son magnifique nouvel outil de travail développé avec succès par mon prédécesseur, M. Jean-Daniel Wicht, lorsque j’ai vu l’annonce de Directeur, je me suis dit qu’il fallait que j’envoie ma candidature. Puis les différents entretiens se sont bien déroulés et me voilà, depuis le 1er avril à la tête de la FFE.
Vous êtes un sportif accompli. Les préalpes fribourgeoises sont-elles comparables aux montagnes valaisannes pour le trail et la peau de phoque ?
Je dirai qu’elles ne sont pas comparables, mais tout autant belles. Certes, en Valais les montagnes sont plus élevées, mais je constate qu’il y a aussi de superbes terrains de jeux que j’ai appris à découvrir. Et je suis loin encore de tout connaître.
Comment voyez-vous le développement de l'apprentissage dans les métiers de la FFE ?
Honnêtement, je pense qu’il y a d’énormes possibilités de développement, mais cela passe pour moi d’abord par une meilleure information auprès des parents, du personnel enseignant et des psychologues en orientation professionnelle qui ont parfois des a priori non seulement pour les métiers de la construction, mais pour l’ensemble des apprentissages. Pour moi, ce développement doit se passer à différents niveaux : répondre aux attentes du terrain des entreprises avec des métiers qui évoluent très vite, intégrer les nouvelles technologies de l’enseignement, travailler davantage avec les hautes écoles, et surtout plus collaborer au niveau intercantonal, national ou international. À ce sujet, nous nous sommes rendus par exemple avec l’ancien directeur de la FFE, M. Jean-Daniel Wicht, à l’ECIR, l’Ecole de la Construction des Infrastructures et des Réseaux à Mallemort en France. Nous y avons vu bon nombre d’idées de systèmes d’enseignement qui pourraient être mis en place à la FFE. En définitive, vu les enjeux avec la pénurie de main-d’œuvre qualifiée qui touche aujourd’hui l’ensemble des branches de notre économie, les synergies et collaborations doivent aller pour moi au-delà du seul secteur de la construction.
Fondue fribourgeoise ou raclette valaisanne ?
Ma copine étant gruérienne, je vais dire que j’aime les deux. |